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littérature coréenne - Page 23

  • Le Chant de la Terre de Lee Seung-U

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    • le chant de la terre, lee seung-u, littérature coréenne, decrescenzo, passion corée, Corée du Sud Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Le Chant de la Terre ?

       "La maison d'édition Decrescenzo, spécialisée dans la littérature coréenne, m'intéresse forcément particulièrement. J'ai craqué pour celui-ci parce que l'histoire a l'air passionnante, que j'ai déjà aimé la plume de cet auteur et qu'il a le grand avantage d'être proposé au format poche."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "De sublimes écritures murales sont découvertes dans les cellules d'un monastère abandonné. Au travers du destin de différents personnages et en revenant sur le passé, l'auteur nous raconte leur histoire..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Il fait partie de ces livres pour lesquels il est assez compliqué d'écrire un avis, de faire passer tout ce qui a pu émailler notre lecture, d'autant plus qu'il nous offre de nombreuses facettes. Si je devais résumer, je dirais que j'ai vraiment beaucoup aimé l'histoire mais pas sa mise en oeuvre. L'auteur fait peser sur nous l'ambiance compliquée de ces années de dictature en Corée et retranscrit parfaitement tout ce qui a pu en découler. C'est indéniablement l'un de ses points forts, comme la poésie de sa plume. Il nous amène également à nous interroger et à parcourir un bout du chemin dans la peau de multiples protagonistes, nous permettant d'adopter différents points de vue. Enfin, la part de suspense autour de par qui, pourquoi et quand sont apparues ces inscriptions nous pousse à tourner les pages mais la multiplication des histoires me laisse un sentiment d'éparpillement, la complication du récit m'a parfois perdue."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "La fin est vraiment interessante et émouvante mais la forme reste étrange pour le moins. Encore un roman coréen que je conseille vivement à ceux qui s'intéressent à l'historie du pays, mais à eux seulement."

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

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    Alors, vous craquez pour "Le Chant de la Terre" ?

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  • The Hen Who Dreamed she Could Fly de Sun-Mi Hwang

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    • the hen who dreamed she could fly, littérature coréenne, littérature jeunesse, Sun-mi Hwang, conte, corée du sudMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec The Hen Who Dreamed she Could Fly ?

       "Dès que l'auteur est coréen, je suis irrémédiablement attirée par un livre et même si celui-ci n'évoque absolument pas le pays, l'histoire de cette petite poule m'intriguait."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Sprout est une poule pondeuse mais elle ne supporte plus d'être enfermée, ne supporte plus qu'on lui prenne chaque jour ses oeufs. Tout ce qu'elle veut c'est vivre libre dans la cour de la ferme et pouvoir couver paisiblement..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "C'est un très joli conte pour enfants. C'est tendre, parfois triste. Ça parle de liberté, de courage et de différences. D'amour maternel aussi. C'est poétique et émouvant et j'ai beaucoup aimé faire la rencontre de cette petite poule. Je comprends pourquoi le livre a été traduit dans de nombreux pays et adapté à plusieurs reprises mais ça reste un conte pour enfants. S'il n'était pas épuisé en français, je l'offrirais sans aucun doute à tous ceux de mon entourage mais en tant qu'adulte, je ne sais pas si au-delà de la lecture plaisante, il me restera grand chose de cette histoire mais peut-être que je me trompe. Et ça ne m'empêche pas pour autant d'avoir envie de lire les autres romans de l'autrice. Après tout, ça ne fait jamais de mal de retomber un peu en enfance."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Comme cela devait finir, nous étions prévenus, mais on retrouve bien ici le côté souvent doux amer de la littérature coréenne, plus réaliste que nos sempiternels "tout est bien qui finit bien."

     

        Mlle Alice, merci, et à samedi prochain...

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  • Une Journée dans la Vie du Romancier Gubo de Park Taewon

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    • une journée dans la vie du romancier gubo, Park taewon, littérature coréenne, atelier des cahier, passion corée, hanguk, Corée du Sud, Séoul Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Une Journée dans la Vie du Romancier Gubo ?

       "Lorsqu'un livre parle de livres, ou de gens qui écrivent des livres, il y a quand même peu de chances que je résiste. Alors si en plus, il se passe dans le Séoul des années 30 !"

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Chaque matin, Gubo quitte la maison qu'il partage avec sa mère et erre dans la ville, rencontre ses amis, observe ce qui l'entoure... Et pour une journée, il va nous emmener avec lui..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Le roman en lui-même est sympathique. On suit ce jeune écrivain un peu perdu, qui est certainement le reflet de Park Taewon lui-même, dans la ville mais également dans ses réflexions et dans ses souvenirs. Mais c'est certainement la valeur historique du document qui reste la plus interessante, un témoignage qui nous plonge dans le Séoul des années 30, ses rues, ses bâtiments, ses artistes aussi. L'éditeur a d'ailleurs réussi à mettre tout cela en valeur avec des illustrations, des photos de l'époque, des plans et des encadrés qui nous explique parfois le contexte et parfois nous expose la courte biographie d'un tel ou d'un autre. Cela rend ce récit passionnant pour tous ceux qui s'intéressent à la Corée et à cette époque. Ce dont le roman ne rend pas compte en revanche, ou du moins pas explicitement, c'est de l'occupation japonaise de l'époque, ce qui s'explique par le fait que la parution du livre se situe également à ce moment-là. La lecture revêt alors un petit côté perturbant et laisse beaucoup de place à l'imagination."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "J'ai surtout aimé cette lecture pour le côté historique et vraiment, j'applaudis l'éditeur pour le travail effectué autour qui lui donne toute l'épaisseur qu'il mérite."

     

        Mlle Alice, merci, et à samedi prochain...

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    Alors, vous craquez pour "Une Journée dans la Vie du Romancier Gubo" ?

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